Masquant cette existence douloureuse,
où la faim, les deuils, les absences, les tortures, les arrestations font partie du lot commun, la vie apparente d'une société qui ne veut pas mourir de tristesse, continue.
Les artistes se produisent : de Mistinguett
et Maurice Chevalier à Sacha Guitry.
Les cabarets parisiens regorgent de clients français qui se mêlent, sans trop de pudeur, aux uniformes vert-de-gris.
Distractions
et
cinéma
sous
l'Occupation